lunes, 17 de abril de 2017

PRESAGIANDO LA SOLUCION FINAL... (o cuando Clouscard rimó definitiva y perfectamente con Baudrillard)



"L’intelligentsia, longtemps certes, s’est opposée, d’un bel élan de sa belle âme, à l’intrusion d’une programmation étatique dans la vie privée et l’univers du loisir. C’était l’essentiel de son discours face au pouvoir. C’est le thème même de la littérature et des arts engagés. Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley est le livre, le symbole, le mythe même de la contestation du fonctionnel programmé. Et Dieu sait si la belle âme indignée a usé et abusé de ces archétypes pour critiquer les réalisations des pays socialistes. Mai 68 a été l’apothéose de cette prétendue résistance du ludique et du marginal à l’Etat technocratique.

Et voilà que le nouvel humanisme sera l’informatisation de la société! Et au service de la convivialité! Et cette nouvelle doctrine libératrice est proposée par ceux-là mêmes qui se sont faits les chantres de la contestation, de la libéralisation des mœurs, de la convivialité."


(MICHEL CLOUSCARD)



“L'information peut tout nous dire. Elle a toutes les réponses. Mais ce sont des réponses à des questions que nous n'avons pas posées, et qui ne se posent sans doute même pas.”

(JEAN BAUDRILLARD)

sábado, 1 de abril de 2017

¿LAS RAICES DE LA TONTERIDA?



¿Las raíces de la tonterida? Podríamos ir más atrás pero quedémonos desde el siglo pasado: los contubernios troskistas (tan neoyorkinos, tan parisinos, tan berlineses -esto último, que diría Grover Furr-), y las hermeneúticas salchichonas (...de Frankfort) desmontadoras (desnaturalizadoras -emasculadoras-) de los pensamientos y diagnósticos más preocupados por la decadencia (Nietzsche, Spengler, Heidegger), y un poquito de existencialismo vuelto cinismo (eufemismo para dar charme al macarreo mercenario), y el maidan sesentayochista para apear a De Gaulle por su tancredismo desafiante a la primacía de Washington, y sus residuos estructuralistas ya anunciando la gran coartada pannelliana más libertina que libertaria, institucionalizando lo lumpen al servicio de Occidente, de la UE (ahí Bonnino devenida en Gran Comisaria), de la OTAN (ahí los clamores en los 90 exigiendo bombas sobre Belgrado), de Hayek (ahí Taradash y otros "radicali" que desembocaron en FORZA ITALIA), de lo que sea menester (ahí la subasta de votos como última y fecal gesticulación del artista del hambre Marco Giacinto Pannella, el anticristo -por su santona impostura- de la política italiana),,, y, finalmente, como síntesis terminal de todo ello, tras la batuta del vampiro Soros, la vomitona demagorreica de los "indignados", de la obamocracia y de la disfuncionalidad zapateriana (con el tongo asomando por la puerta sin disimulo: voilá Nobel de la Paz "ad uterum presidentiam", voilá aquella película italiana con que los restos radicales saludaron la llegada de ZP "VIVA ZAPATERO!", voilá el magnate mediático Roures con un pie en la ¿izquierda? más chillona y otro, más decisivo, en la satrapía qatarí).





"Pour que la bande devienne ce quelle doit être, elle ne doit
tomber ni vers le haut – l’édification morale – ni vers le bas –
le délit criminel. Son homogénéisation est la synthèse des bons
sentiments et de la transgression. L’idéal, c’est d’établir cette
réciprocité : les bons sentiments comme moyens de la
subversion ou celle-ci comme moyen des bons sentiments.
Alors l’auditoire bourgeois applaudit des deux mains. Le
gauchiste sera le chouchou – et la mascotte – du système. Le
nouveau bourgeois aura su confondre l’idéalisme moral et la
subversion de la chose publique. L’incivisme est une école d’arrivisme. A condition d’avoir été bien élevé." 
(MICHEL CLOUSCARD)